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Real Kewl Trash (Redux)

13 mars 2016

New York City's classic pix du jour - Andreas Feininger

Architecte américain d'origine allemande mais né à Paris en 1906, Andreas Feininger étudie au Bauhaus puis travaille avec Le Corbusier à Paris avant de s'installer à New York en 1939. Deux ans plus tard, il commence à collaborer avec Life Magazine en tant que photographe, sa passion depuis toujours, passion qui est déjà devenue depuis quelques années son activité professionnelle principale. Cette photo de 1949 montre le déchargement de sacs de café sur les docks de Brooklyn, avec le Lower Manhattan à l'arrière-plan. Love it.

AF LIFE1

D'autres superbes clichés d'Andreas Feininger et d'autres photographes ayant travaillé avec Life sur le blog life.tumblr.com

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8 mars 2016

This Week's Music Video - The Devil Dogs, Back In The City / Time Enough For Love

Nés à New York, les Devils Dogs représentent encore aujourd'hui pour les chanceux qui ont pu les voir sur scène au début des 90's LE punkrock'n'roll band ultime. Andy Gortler, Steve Baise et Mighty Joe Vincent ont incarné le garage punk post-60's avec une intensité et une férocité hallucinante pendant seulement cinq petites années, poussant la fameuse formule magique Beach Boys + Ramones = Rock'n'Roll à son paroxysme. J'ai encore des souvenirs frappants de leur passage au Rockline, le mythique biker-bar et bouge rock'n'roll du sud de Lille dans les early-90's, et cette vidéo live (shootée le 24 Octobre 93 en Belgique - j'ai cru reconnaître l'ancien Democrazy à Gand, mais j'ai un doute) retranscrit parfaitement la folie furieuse de speedfreaks du power trio sur scène. Le youtubeur qui a publié il y a quelques années ce Back in the City  - couplé au Time enough for Love (le cultissime single des Fun Things, le combo punk pré-Hoodoo Gurus de Brad Shepherd) -  a d'ailleurs eu la bonne idée de poster les autres morceaux de ce concert, convertis à partir de la VHS d'origine. Enjoy the Fury.

The Devil Dogs - Back In The City / Time Enough For Love

5 mars 2016

Daddy Long Legs + The Idiots, 4AD, Diksmuide, hier soir

La tournée européenne de Daddy Long Legs les a amené par deux fois dans la région, la semaine dernière à Saint André-lez-Lille pour une soirée Les Nuits de l'Alligator hébergée par l'Aéronef, et hier soir à Diksmuide au 4AD, de l'autre côté de la frontière. Deux perfs en premières parties, tout d'abord du Londonien Jim Jones et de son nouveau combo The Righteous Mind à Lille, puis ce vendredi de The Id!ots, quartet basé à Gand et dernier projet en date de deux vétérans (ex-Ugly Papas) des scènes locales.

 

SANY0002 - Copie

 

 

Le concert de Lille était franchement pas mal: beaucoup de monde, de curieux surtout, venus profiter de l'occasion (concert gratuit) pour découvrir des groupes inconnus du grand public et accessoirement plonger pendant une soirée dans cet étrange (aux yeux des plus jeunes) et à moitié oublié courant musical de quarant-(cinquant)-enaires called Rock'n'Roll. Une bonne ambiance, donc, mais sans les grains de folie individuels et le lâcher-prise collectif qui font les grandes bacchanales rock'n'roll.

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Je ne suis pas vraiment fan de la Jim Jones Revue, mais j'étais tout de même curieux de découvrir le nouveau projet de l'ex-Thee Hypnotics, bien titillé par un excellent single paru il y a peu. Sur scène le gospel voodoo rock'n'roll incantatoire des British sonne plutôt bien, avec des compos qui, dans l'ensemble, tiennent la route. Le problème, c'est plutôt le chant, Jones étant quand même assez limité à ce niveau-là. Ça passait (plus ou moins) à l'époque de la Revue et de son garage-punk à la Bunker Hill/Little Richard sous amphét', ça le fait moins sur des plages plus lentes et atmosphériques. Résultat, des baisses de régimes gênantes par moment et un feeling pas toujours au top, mais aussi des good vibes sur certains titres comme sur l'ultime morceau du (court) rappel.

 

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 DaddyLLcapt1

«Good Vibes», par contre, ça colle parfaitement au généreux punk-blues jouissif et débridé des trois New Yorkais (from Brooklyn, Baby!) de Daddy Long legs! C'est peu de dire qu'on était impatient de recroiser la route de ces trois-là depuis le gig qui nous avait tant plu à Roots & Roses l'année dernière, et leur set d'une cinquantaine de minutes à St. André a au moins comblé cette fringale-là, à défaut de nous coller au plafond. Pas la faute du groupe, le trio trouvant vite sont rythme de croisière après quelques ajustements, juste l'inévitable décalage entre un gang qui fonctionne tout à l'énergie et un public certes attentif et bienveillant mais peu démonstratif. Bonne ambiance et bon feeling, donc, mais rien de commun avec le gig de ce vendredi en Belgique..

 Daddy Long Legs - Skinny Woman

Arrivée pile-poil à 21h à Diksmuide, le temps de se faufiler jusqu'au bar dans un 4AD plein à craquer de grands chauves à barbes de vikings portant T-shirts à l'effigie de The Idiots – manifestement le gros du public est venu pour la tête d'affiche – et Daddy Long Legs et ses deux compères lancent la machine à danser le blues avec un premier titre et un son euh.. bizarre. Problème de jack défectueux, pas grave, Murat Akturk tripatouille une minute le jack en question pendant que le Daddy bonimente et annonce la couleur dominante de la soirée : da Blues, my man! Ouais mais faut s'entendre sur les termes mon pote, pas le blues pachydermique et soporifique de bedonnants profs de guitare à queue de cheval, non, buddy, le Blues, quoi! Hargneux comme le dentier de ma grand-mère attaquant un croûton vieux de 15 jours, le genre de blues teigneux qui garde un œil lubrique sur le cul de la femme blanche et l'autre sur le goutte-à-goutte de l'alcool de contrebande qui drippe à la lueur de la lune.. Sonny Boy Williamson est convoqué avec son Skinny Woman, Death Train Blues fait monter la pression dans la chaudière, Akturk et Josh Styles, le métronome humain au fracassant maracas, quittent un instant la scène pour laisser Daddy Long Legs, ce «Big Bad Ginger Motherfucker from St. Louis, Missouri», régler seul son compte au Bourgeois Blues de Leadbelly.. Fuck Yeah! semble être la réponse collective du public, qui démarre au quart de tour, ça gigote sévère au premiers rangs, ça stompe et ça hulule son approbation dans toute la salle, et le concert reste sur orbite jusqu'au rappel unique arraché sans trop de difficulté par un public aux anges. Ce soir, ils l'on gardé pour la fin, ce Motorcycle Madness orgiaque et pétaradant, refrain repris à tue-tête et poignée dans le coin! Hoo Yeah, Ton-up! Ton-up! - that's what I like..

 

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Larges sourires comblés et ruée généralisée vers le coin du merchandising, ça a manifestement séduit le public, mais ce dernier attend surtout The Idiots, les locaux de l'étape à la apparemment déjà solide réputation. Nous, on connaît pas, tant mieux, c'est l'occasion de découvrir le quartet gantois mené par Dick Descamps. Un premier titre un peu shoegaze, mais dès le second morceau le combo commence à pulser velu, et au final nous sert sur un plateau un dirty pospunk hardcore rock'n'roll méchamment puissant (mais pas bourrin) et capable de finesse et d'humour. Mention spéciale au guitariste Wouter Spaens, juvénile zébulon à l'impressionnante capacité de rebond et au jeu de guitare sec et précis.

 The Idiots live at 4AD, Diksmuide

Super soirée, en résumé, de celles qui restent gravées dans les mémoires pour toutes les bonnes raisons, sans hype et sans frime, à la belge, quoi! Daddy Long legs est déjà retourné aux U.S.A. quand vous lirez ces lignes, et The Idiots jouent encore un peu partout en Flandres jusqu'en avril. Dans tous les cas, catch these bands live as soon as you can if you need a healthy fuckin' great shot of rock'n'roll! Well done, guys!!!

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4 mars 2016

New York City's classic pix du jour - New York Dolls

Les New York Dolls au Mercer Arts Center en 1972, quelques mois avant le spectaculaire effondrement du building le vendredi 09 Août 1973, à 17 heures. Cet évenement est bien sûr au coeur de l'excellent pilote de la série TV Vinyl, produite par Martin Scorsese et Mick Jagger et réalisée (pour le pilote, tout du moins) par Scorsese lui-même. L'histoire des Dolls et du Mercer Arts Center se confondent pas mal, puisque les Poupées se sont formées en '71 et que la formation originale (David Johansen, Johnny Thunders, Syl Sylvain, Arthur Kane et Jerry Nolan, le remplacant du batteur Billy Murcia décédé d'une overdose à Londres en Novembre 72) jouait régulièrement (tous les mardis soirs, en fait) dans la pièce Oscar Wilde. 

L'épisode 1 de Vinyl débute et se termine avec l'un de ces fameux gigs des Dolls au Mercer et la dernière scène restitue bien le feeling de l'époque: musicalement, à la croisée du Glam anglais fraîchement importé, du protopunk East Coast et du hard '70's naissant - et "socialement", la séquence transpire la fuite en avant et l'hédonisme déséspéré d'une génération post-hippie et post-Vietnam prête à tout oublier d'une décennie déjà pourrie, dans une ville elle-même en pleine décrépitude.

La métaphore filée par Scorsese tout au long de l'épisode - le personnage principal sentant son univers s'écrouler autour de lui et préférant jouir une ultime fois dans la transe rock'n'roll et cocainée d'un live apocalyptique et masturbatoire plutôt que de chercher salut et rédemption en assumant ses actes -  repose cependant sur une notable entorse à la réalité, puisque l'écroulement du M.A.C ne s'est pas produit pendant un concert mais dans l'après-midi, bien avant l'ouverture des portes pour les shows de la soirée, et après que plusieurs signes avant-coureurs aient permis au manager de faire évacuer les lieux. Quatre personnes ont quand même perdu la vie, mais rien de commun avec le final dantesque du pilote de Scorsese.

Quant aux Dolls, l'aventure se terminera quelques mois plus tard, après deux albums considérés aujourd'hui comme des classiques et une lente désintégration faite de splits, de semi-reformations, de disputes et de réconcilations, et de retours plus ou moins ratés malgré les fulgurances live dont le groupe était régulièrement capable.

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Beaucoup plus de détails sur la page du site Den of The Geek! à propos de ce moment-clé de l'histoire de NYC

2 mars 2016

New York City's classic pix du jour - Bettie Page

Un rare cliché de Bettie Page en écho au post d'hier. Bettie avec ses "bangs", la fameuse frange que lui a suggéré quelques mois plus tôt le photographe amateur Jerry Tibbs, un policier noir de Harlem (Imaginez au passage le culot et le sang-froid qu'il a fallu à ces deux-là pour faire des photos en extérieur, sur les plages de Coney Island, en 1950.. Un homme noir photographiant une femme blanche en bikini minimaliste.. Wow.) C'est Tibbs qui lui met le pied à l'étrier et l'aide à lancer sa carrière de glamour model en lui offrant son premier portfolio. Depuis 1947, Bettie habite à Midtown Manhattan et bosse comme secrétaire, et ce cliché la montre sur la plage de Coney Island en companie de sa soeur Goldie, de passage à NYC. Cinq ans plus tard, Bettie fait la couv' du numéro de Janvier de Playboy, et devient pour l'éternité la "Reine des Pinups". Love her.

Bettie Page Coney Island1

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2 mars 2016

New York City's classic pix du jour - Bettie Page par Arnold Kovacs

Arnold Kovacs était un photographe professionnel originaire de Rahway, New Jersey, à quelques miles de NYC. Il avait travaillé au sein de l'U.S. Army pendant la seconde guerre mondiale, et de retour à la maison a tout naturellement tourné son attention vers le phénomène pin-up et les photos glamour. Ses photos de Bettie Page, l'adorable - et encore adulée aujourd'hui - Queen of Curves, sont peut-être moins connues ou emblématiques que les clichés cheesecake, cuir, bottes et bondage des new-yorkais Paula et Irving Klaw, ou que ceux, aussi complices que joyeusement sensuels issus de la collaboration entre Bettie et Bunny Yeager, mais elles dégagent le même puissance évocatrice et la même charge érotique, avec ce mélange unique de sexualité libérée et de simplicité charmeuse. Ce pourquoi, d'ailleurs, Bettie Page demeure encore la reine incontestée de toutes les pin-ups et Burlesque babes passées, présentes et à venir. Enjoy.

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Image Copyright © Arnold Kovacs -  Courtesy of Michael Fornitz Collection

 

 

 

1 mars 2016

New York City's classic pix du jour - Ronnie Bell

Les 70's ont été la décennie de la transition entre striptease classique (le "Burlesque" au sens strict, danse chorégraphiée et sexe suggéré plutôt que montré) et le porn, en live ou filmé, en pure exploitation ou avec un alibi pseudo-artistique. Ronnie Bell, une exotic dancer new-yorkaise, manifeste ici devant le Mayfair Theatre, ou se joue un show ou les acteurs nus ont des rapports sexuels non-simulés sur scène. Le message est clair: "Plutôt aguicher et titiller que grogner et gémir"! nous dit la miss Ronnie, défendant le gagne-pain des véritables artistes que sont nombres de strippers, face à la prolifération de sex-shows sordides produits à la va-vite, sans aucune considération pour le dur labeur et l'investissement personnel et artistique des stripteaseuses "traditionnelles".

bump grind groan

29 février 2016

This Week's Music Video - The Third Bardo, Five Years Ahead of My Time

The Third Bardo est né à New York et a pondu en tout et pour tout un seul et unique E.P. 5-titres, mais la piste-phare de ce disque, Five Years Ahead of My Time, est devenu depuis 1965 un cult-classic garage psychédélique incontournable et révéré, grâce entre autres aux Cramps et aux Nomads, pour ne citer que deux des grands groupes des 80's qui ont contribué à faire entrer dans une autre dimension nombres de jeunes garagefreaks avides de découvertes et de sensations inédites. Une réédition en vinyle 25cms a paru il y a quelques années sur Sundazed Rds, et on trouve bien sûr ce classique sur l'indispensable box set Nuggets de Rhino Rds.

A défaut d'une vidéo d'époque, on vous propose ce matin un youtube live lors d'une reformation récente, plus la version originale superposée à un extrait du film Riot On Sunset Strip (1967). Enjoy.

 The Third Bardo - Five Years Ahead of My Time

The Third bardo - Five Years Ahead of My Time

28 février 2016

New York City's classic pix du jour - Arlene Gottfried

Arlene Gottfried, autre photographe native de New York, shoote depuis les 70's le quotidien de la communauté portoricaine de NYC, ces "Nuyoricans" installés depuis les années 50 du sud du Bronx au Lower East Side en passant par Downtown Brooklyn. Ses photos débordent de tendresse et saisissent souvent le cocasse, le pathétique ou la joie de la vie dans le barrio new-yorkais. Enjoy.

arlene-gottfried-bacalaitos-and-fireworks-09image copyright © Arlene Gottfried - Arlene Gottfried Official Website

27 février 2016

New York City's classic pix du jour - Liz Christy

Le Liz Christy Community Garden a été le premier jardin communautaire de New York, créé en 1973 par une bande d'acharnés, les Green Guerillas, qui refusaient de voir les terrains vagues et les "lots" abandonnés des quartiers les plus déshérités se transformer en salles de shoot à ciel ouvert et dépots d'ordures tapissés de seringues usagées. Armés de leur seed bombs (des ballons ou des préservatifs remplis de graines qu'ils balançaient par dessus les grillages et les murs à moitié effondrés), et de leur conviction intime que la verdure sauvage pouvait déclencher un nécessaire cercle vertueux au sein de la méga(lo)pole Big Apple, ces activistes aussi déterminés qu'imaginatifs ont contribué à changer radicalement la physionomie de NYC. Aujourd'hui, New York compte plus de 650 jardins partagés, soit autant d'indispensables coins de verdure, de culture et de rencontres.

La photo ci-dessous montre Liz Christy, l'activiste et local resident à l'origine du tout premier projet de community garden, savourant un moment de détente et de solitude au milieu du jardin qui allait être renommé en son honneur, l'année de son décés, en 1985.

Liz Christy ComGarden NYC73

26 février 2016

New York City's classic pix du jour - Bob Gruen

Bob Gruen, également natif de New York, a été le photographe attitré de John Lennon et d'un paquet de combos mythiques, new-yorkais de naissance ou d'adoption: les New York Dolls, Iggy, les Ramones bien sûr, et Blondie depuis leur tout début. Ce cliché de Debbie Harry devant le fameux Thunderbolt - l'impressionnant et historique rollercoaster du parc d'attraction de Coney Island - date de 1977. Love it.

C-63_DebbieHarry_ConeyIsland1977_Gruenimage copyright © Bob Gruen - Bob Gruen Official Website

 

25 février 2016

Daddy Long Legs + Jim Jones & The Righteous Mind - Lille, hier soir

Quelques pix lo-fi de Daddy Long Legs en attendant le compte-rendu du concert de ce mercredi en première partie de Jim Jones & The Righteous Mind à Saint-André-Lez-Lille, et surtout en attendant le retour des trois blues preachers from Brooklyn, New York, et leur rock'n'roll primitif et tribal la semaine prochaine au 4AD à Diksmuide!

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Et une vidéo du rappel de Jim Jones & The Righteous Mind! Enjoy.

 

24 février 2016

New York City's classic pix du jour - Allan Tannenbaum

Allan Tannenbaum est un photographe new-yorkais qui, après avoir été chauffeur de taxi et barman à SoHo, continue encore aujourd'hui à dresser le portrait de la Grosse Pomme, comme il le faisait déjà dans les 1970's, inspiré qu'il était par les misfits et décalés de tout poil et la rue grouillante de vie des quartiers les plus populaires des cing boroughs. Un super boulot de street photography qui restitue fidèlement les aspects les plus rock'n'roll de NYC, comme ce cliché de deux membres du Ching-A-Ling Motorcycle Club en train de rentrer un chopper shovelhead dans leur clubhouse du Bronx. Issus d'un gang de rue portoricain né dans les 60's, le Ching-A-Ling Nomads MC est un club d'outlaw bikers qui existe encore aujourd'hui et dont les membres sont dispersés un peu partout dans New York.

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image copyright © Allan Tannenbaum

Pour en savoir plus sur Allan Tannenbaum et sa vision du New York des 70's, un tour sur le toujours fabuleux blog The Selvedge Yard s'impose!

23 février 2016

New York City's classic pix du jour - Steve Schapiro

L'essence même du New Hollywood, la révolution cinématographique américaine des 70's, dans ce cliché de tournage. Un taxi driver et son client, cruisant les mean streets de la Big Apple dans un iconique yellow cab.. Trois New Yorkais pure souche dans ce cliché qui suinte le NYC crade et grouillant de vie de 1976: Martin Scorsese, le réalisateur, dans le rôle du client, Robert De Niro dans le rôle du chauffeur de taxi / vietnam vet / vigilante qui l'a révélé, et derrière l'objectif le grand photoreporter Steve Schapiro, embauché à l'époque à la demande de De Niro lui-même pour shooter les photos du tournage. Enjoy.

schapiro_taxi_driverLe site officiel de Steve Schapiro ici

 

22 février 2016

This Week's Music Video - Blondie, Rip Her To Shreds

On commence une série spéciale New York City Rock'n'Roll cette semaine! Avec Blondie, le combo Power Pop Punk de Chris Stein et Deborah Harry,  tout d'abord dans une version '77 à la vidéo pourrie (punk, quoi) - mais authentiquement badass - de leur Rip Her to Shreds, bien meilleure que la seconde, celle du 7 Juillet 1979 sur leur hometurf, le Convention Hall de NYC. Blondie, l'album self-titled, a paru fin 1976, et l'une des pistes de la face-B, Rip Her.., décrit férocement les ravages du gossip de la presse people (comme on ne l'appelait pas encore à l'époque) sur les wannabe-stars locales et autres celebs d'un jour. Musicalement, c'est aussi le prototype tubesque des futurs hits du groupe, de Denis, à Call Me en passant par Heart of Glass. Enjoy.

Blondie - Rip Her to Shreds

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Samedi 20 avril 2024
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La Bulle Café, Lille

Dimanche 21 avril 2024
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Mardi 23 avril 2024
Speedways
La Bulle Café, Lille

Mardi 30 avril 2024
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Vendredi 03 mai 2024
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Les 4 Ecluses, Dunkerque

Vendredi 17 mai 2024
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Samedi 25 mai 2024
The Courettes + Power Shake
Le Botanique, Bruxelles

Lundi 27 mai 2024
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Mercredi 29 mai 2024
Killer Kin
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Vendredi 31 mai 2024
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4AD, Diksmuide

Samedi 15 juin 2024
Slim Cessna’s Auto Club
4AD, Diksmuide

Vendredi 29 juin 2024
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De Casino (in the Park), Sint-Niklas

Vendredi-Dimanche 5 au 7 juillet 2024
The Chats, Si Cranstoun,
Jenny Don't and the Spurs,
Bad Religion, New Bomb Turks,
Left Lane Cruiser, The Sadies,
The Gories, Civic, Lambrini Girls,
Detroit Cobras + More TBC
Sjock Festival, Gierle

 

 

 

 

 

 



 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

TOP-5, TOP-10, PLAYLISTS & SELECTIONS

Vanishing Point 2

Je ne suis pas un maniaque des listes et compilations, mais parfois, l'envie me prend d'un Top-5 musique, ciné ou autre, inspiré par le rock'n'roll et la car-culture qui sont mes principales obsessions. Si, fellow websurfer, tu déniches donc ici la pépite qui te met en joie ou l'info qui te manque, tant mieux ! Enjoy it, partage et fait tourner..

Sometimes I fancy creating a playlist about anything which has something to do with the rock'n'roll and car-culture I'm obsessed with. So, if you, fellow websurfer, come across the little nugget which makes your day or the piece of info you need, good for ya!

Ford Songs Times Five
- Un hommage en cinq titres à la marque à l'oval bleu!
A Motorcycle Songs Top-10 (with a few naughty gurls, too)
– 10 pistes dédiées à la bécane et à l'addiction motocycliste, plus quelques filles pas sages au guidon..
Road Movies des 70's / Highway Patrol Songs
– les 5 classiques incontournables d'un genre cinématographique américain par excellence
– 5 titres à la gloire - ou pas - du mythique patrouilleur de la route
Mustang Rock'n'Roll
– 5 cool chansons célébrant la Ford Mustang

Cadillac Songs
– Pas besoin d'explications..




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