Ah, la Chevy Fleetline Aerosedan 1946.. A tomber quand elle est traitée bomb façon Chicanos de East Los Angeles (posée par terre grâce aux hydrauliques sur des roues fils petit diamètre), elle a aussi de quoi séduire l'amateur d'Américaine classique, avec son look streamline tout en courbes, ses fender-skirts et son abondance de chromes, quand elle est strictement d'origine... On voit bien ou Peugeot a puisé son inspiration pour sa 203, non?
Les Chevies des late-30's ont toutes une silhouette fabuleuse et des caractéristiques techniques remarquables pour l'époque. Ce splendide coupé haut-de-gamme, strictement d'origine jusqu'au bout des jantes tôles et de son increvable 6-cylindres-en-ligne Stovebolt, m'a bien accroché la rétine, même si ça ne me dérangerait pas de tomber un de ces jours sur la même avec un traitement 60's Dragstrip Hot Rod ou en version Bomb façon Lowriding traditionnel..
L'un des arrière-trains les plus spectaculaires - et anticonformistes - de la production automobile américaine de l'année! Quand tous les autres constructeurs s'épuisaient à coups de références aéronautiques plus vraiment subtiles à viser le ciel à coups d'ailerons délirants et de lance-roquettes phalliques, Chevrolet proposait ces sublimes et poétiques "ailes de mouettes" sur toute sa gamme, et l'un des modèles les plus désirables aujourd'hui est sans nul-doute ce coupé hard-top Impala.
Ce très bel exemplaire se trouvait à la fin d'une belle rangée de curbside classics des fifties pas très loin de la Grand'Place, malheureusement garé avec une autre Chevy entre deux poteaux.. Pas top pour les photos. Et le temps de jeter un oeil à l'impala, les proprios des autres caisses avaient décidé de mettre les bouts, mais j'ai pu shooter à la volée quelques clichés d'une autre belle bête, ce superbe coupé Buick LeSabre de 1960. Côté look, les bosses de chez Buick avaient quant à eux misé l'année précédente sur le "tout incliné", et un an plus tard il en restait encore des traces notables avec les paupières de phares "en biais" et les fameux ailerons "Delta" à l'arrière. Même en version LeSabre (le bas-de-gamme de l'année) relativement dépouillée, cette Full-size fait son petit effet..
Au beau milieu du display de la Place du 73ème, ce cabrio Packard en a scotché plus d'un.. Cette magnifique américaine classique a subi une restauration impressionnante ainsi qu'une très légère customisation qui en font un splendide boulevard cruiser, le genre de caisse qui n'a pas peur d'avaler les miles ou les kilomètres sur toutes les highways, avant de descendre et de remonter en slow motion les avenues des grandes villes histoire de voir et d'être vu.
C'était précisément le programme du couple de suédois descendu de là-haut au volant de cette classic pour B.R.'15 avant d'aller faire un tour en Champagne! En discutant quelques minutes avec le proprio de cette merveille, j'en ai appris un peu plus sur ce convertible: il a été trouvé dans le sud des USA, dans un état "limite" (pas de moteur, plancher irrécupérable, etc..), et a été reconstruit à partir d'une épave complète de berline '52 transformée en donneuse d'organes. Le choix de la peinture semi-mat est délibéré, tout comme les autres petites touches persos qui font de cette Packard un subtil mild-custom et non pas une resto 100% d'origine. Un crime? Non, une raison de se réjouir, plutôt, qu'un exemplaire de ce modèle très rare (environ 2500 ex.) ait été sauvé et retrouve une seconde jeunesse en Europe. Well done!
Immédiatement identifiable grâce aux "sourcils froncés" de sa face avant en guise de paupières de phares, le coupé hardtop haut-de-gamme de chez Dodge est un beau bestiau! Produit à 6278 exemplaires seulement en 1959, avec son gros V8 de 383 c.i. et son styling Swept Wing cher à Virgil Exner, ce coupé a effectivement l'air d'avancer (vite), même à l'arrêt.. La peinture un peu passée et les quelques traces d'usure sur les chromes sont les seules marques du passage du temps sur ce superbe exemplaire parfaitement d'origine.
A boire et à manger dans l'expo temporaire Americana au FRAC de Dunkerque cet été, mais je suis tombé en arrêt devant les dix fabuleuses photographies ferroviaires en noir et blanc de Ogle Winston Link, photographe américain pionnier de la photo de nuit et témoin actif et inspiré des derniers jours (oups, sorry) de la loco à vapeur traversant l'Amérique profonde et populaire de la Virginie.
Hotshot Eastbound. Iaeger, West Virginia, August 2, 1956
D'autres travaux photographiques également exposés au quatrième étage de ce splendide bâtiment réhabilité qu'est le FRAC valent le détour, notamment ceux de Lee Friedlander et de Taryn Simon.
Deux belles baby-blue Buicks dévoilaient également leurs charmes, tout en chromes et en rondeurs très fifties. Un autre opportunité de constater la spectaculaire évolution du design automobile américain en l'espace d'à peine huit ans: la «petite» berline de 1951, une Super Eight chassis court strictement d'origine et très accessoirisée, sort encore tout droit des 1940's, avec son viseur à piéton et ses trois VentiPorts chromés sur chaque aile avant. Efficacement propulsée par son 8-en-ligne Fireball l8 de 120 chevaux accouplé à la boîtoto Dynaflow, cette bonne grosse Sedan permettait ainsi au cadre moyen père de famille de s'imaginer un instant aux commandes d'un warbird en plein duel aérien.. Le coupé '58, une Special (chassis court, modèle d'entrée de gamme), est déjà nettement plus rock'n'roll et agressif, avec sa carrure de chevalier teutonique, son gros V-8 et ses 160 (!) carrés chromés en guise de calandre! Les VentiPorts disparaissent cette année-là, mais le reste de la carrosserie dégouline littéralement de chrome. Lovely..
Elle a une bonne gueule cette Cougar '68 green-on-green, malgré (à cause de?) sa hauteur d'origine et avec juste un beau set de jantes street pour la distinguer d''un modèle 100% stock. Faut dire qu'il n'y a pas grand'chose à faire sur une telle caisse, le profil de cette cousine directe de la Ford Mustang la rendant d'office hautement désirable.
Côté Mustang, il y avait deux beaux cabriolets bleu-sur-blanc, une '65-'66 et une '67-'68 de toute beauté. L'occasion d'apprécier l'évolution du styling extérieur, mais aussi de détailler deux intérieurs impeccables et terriblement sexy. L'une des raisons pour lesquelles ces caisses sont toujours aussi atttirantes..
Une C3 rouge-sur-rouge avec T-Top, quoi de mieux pour cruiser sur les petites départementales franco-belges quand le soleil pointe le nez? Joli exemplaire que cette '70-'72!
Windsor, Saratoga ou New Yorker, la grosse berline '57-'58 de la Chrysler Corps impressionne toujours, autant par ses dimensions que par son styling à la fois baroque (les paupières de phares maousses et les parechocs taillés dans la masse) et épuré (la ligne tendue et les ailerons relativement sobres). Un bel exemplaire d'origine avec quelques touches kustom bien vues et un intérieur bien r'n'r, venu de la Côte d'Opal.
C'est le weekend, c'est (bientôt) l'été, y fait (presque) beau et chaud, un temps à enfourcher son bobber, son chop old-school ou sa classic bike pour une feel good virée sur les petites routes de campagne, non? Et avec une bande son adéquate dans les esgourdes, c'est encore plus trippant; allez, un top-ten de la semaine pour kick-starter la playlist..
Summer is almost here, it's getting warmer outside, the sun is shining, time to hop on the seat of your bobber, old-school chopper or classic bike and ride up and down those backcountry roads, right? And with the right kind of soundtrack this is gonna be even better! – Here's this week's top-ten to kickstart the playlist..
demonics - she devils on wheels
01. Motorcycle Madness, Daddy Long Legs C'est LE titre qui me trotte dans la tête depuis quelques semaines et qui a déclenché ce top-10. Dès l'intro, quand D.D.L. imite le bruit du gros cube avec son micro d'harmonica, on s'imagine mettre la poignée dans le coin en laissant une belle traînée de gomme bien nette sur le macadam... et les paroles évoquent simplement tout ce que les motocyclettes peuvent susciter comme fantasmes et comme frissons:
They're gonna clutch you.. They're gonna kill you ! They're gonna love you.. They're gonna thrill you !!! Motorcycle Madness ! I 've got motorcycle madness almost every night..
02. Bad Motorcycle, The Storey Sisters a.k.a. The Twinkles
The Twinkles, c'était deux frangines de Philadelphie, Ann et Lillian Storey, qui enregistrèrent une poignée de singles entre 1957 et 59 pour quelques labels locaux, avant d'avoir un petit hit national avec ce très kewl black rock'n'roller. Ou l'on apprend qu'une «Bad Motorcycle» n'est pas seulement une super bécane mais aussi un type hyper cool, ne serait-ce que par sa manière de fumer..
I was on my way to school when a fellow I could meet, took me by the hand and he told me I was sweet And I knew by the way he smoked he was a bad motorcycle, Yes I knew by the way he smoked he was a bad motorcycle
03. Speeding Motorcycle, Daniel Johnson / Daniel Johnson & Yo La Tengo
Que ce soit dans sa version originale ou celle enregistrée au téléphone, depuis la chambre de ses parents, avec Yo La Tengo dans les studios de WFMU – version d'ailleurs gravée en 45trs pour la postérité (un histoire délirante, retracée ici), l'ode lo-fi antifolk à la joie motocycliste du grand génie reclus et abîmé de New Cumberland, West Virginia, demeure plus de 15 ans après son enregistrement l'une des plus poignantes déclaration d'amour à la liberté sur deux roues.
We don't have to break our necks to get our kicks Speeding motorcycle, the road is ours Speeding motorcycle, let's speed some more We don't need reason and we don't need logic cuz we 've got feelings and we're dang proud of it !!!
04. Little Honda, The Beach Boys / The Hondells
Dans le tas de titres incontournables célébrant le Endless Summer californien des early-to-mid-60's, il y a bien sûr pléthore de chansons dédiées au surf et au hot-rodding mais curieusement relativement peu de pistes à propos de la bécane. Faut dire que trimballer une longboard en deux roues, c'est beaucoup moins pratique – et moins cool - qu'à l'arrière d'un Ford Woody déglingué ou sur le toit d'une 409 flambant neuve.. Ceci dit, Little Honda a quand même été en '64 un des très gros cartons de Brian Wilson et Mike Love – à la grande joie du fabriquant japonais, qui comptait sur l'image proprette des Beach Boys pour imposer son petit Super Cub 50cc au pays desMilwaukee Vibratorspilotés par des délinquants juvéniles. Un hit, donc, surtout dans sa version Hondells, un groupe monté de toutes pièces par le producteur Gary Usher. «a catchy tune», disent les anglophones, et c'est vrai qu'on devient vite accro à cette chouette piste vantant les mérites de la petite japonaise, capable de grimper les côtes «aussi bien qu'une Matchless» (carrément!) sans pour autant terroriser le voisinage.. J'aime bien aussi les versions plus récentes des Queers et des Demonics, et celle bien déjantée (oups, sorry) et hallucinogèno-déconstrutiviste de Yo La Tengo.
It's not a big motorcycle, Just a groovy little motorbike It's more fun than a barrel of monkeys, That two-wheeled bike
05. She-Devils on Wheels, The Demonics Un hommage au biker movie splatter-trash-féministe (?!) de 1968 signé Hershell Gordon Lewis, par ailleurs réalisateur culte d'une poignées de Z movies et inventeur du Gore avec sa trilogie mid-sixties Blood Feast / Two Thousand Maniacs! / Color Me Blood Red. Et un original qui plus est, par cet excellent et injustement méconnu combo de surfpunk powerpop californien qui avait réussi à pondre, en très peu de temps (1998-2002) et mine de rien, trois fantastiques albums d'un rock'n'roll de haute volée truffés de références bien cools. Faut dire que son band-leader et fondateur, Russ Wright, cultivait depuis longtemps un amour inconditionnel pour les muscle-cars, Mopar en tête, les films d'horreurs et les road movies de la grande époque, les subcultures underground des mêmes décennies, les café-racers gonflés et les pin-up girls volcaniques. Ajoutez un talent certain pour torcher des lyrics bourrés d'humour, de jeux de mots tordus et de clins d'oeil, et des mélodies ultra accrocheuses propulsées par des guitares ramonesques à souhait, et vous obtenez le groupe idéal pour parcourir les pages de ce blog! On reparlera bientôt de ce combo..
Don't follow your ambitions, better turn around instead, Baby, cancel your pursuit, stay away, don't lose your head She-devils on wheels, she-devils on wheels She-devils on- Maneaters! Maneaters! Maneaters! She-devils on wheels!
06. Get Off The Road, The Cramps Hershell Gordon Lewis, c'est aussi bien sûr l'une références de Lux et Ivy, têtes pensantes et couple fusionnel des Cramps, qui avaient en dignes précurseurs et infatigables fouilleurs de poubelles de la junk culture américaine déjà emprunté au même film ce titre issu de la B.O. de She-Devils On Wheels. Chantée par Poison Ivy, la version des Cramps est lascive et mangeuse d'hommes à souhait, et, cherry on the cake, le maxi-45tours de l'époque bénéficiait d'une pochette ultra chaude dans sa version suédoise, avec la Poison chevauchant une Hydra Glide dans une tenue – gold bikini et blouson de cuir - aussi minimaliste que suggestive..
We are the Hellcats nobody likes, Maneaters on motorbikes We own this road so you better get lost, When you hear the roar of cut-out exhausts Bug off or you'll find that you've blown your mind
07. (She's a) Bad Motorcycle, The Crestones Un carton dans les charts à Chicago, home of the Crestones, trio garagiste local à la durée de vie limitée (trois 45trs entre avril et septembre 1964) mais qui enregistra tout de même, fait assez rare, un autre single à la gloire de la moto, le très Trashmen-like The Chopper, une histoire de grand-prix-du-feu rouge-du-samedi-soir contre une Pontiac GTO! (I'll show you what I mean when my chopper start to scream) Leur Bad Motorcycle à eux n'a rien à voir avec le titre des Storey Sisters, c'est un garage-rocker bien rustre et primitif fille-bécane-vitesse qui carbure au nitrométhane, avec bruitages adéquats et ce «vroooom pah pah pah papapapapah, Waoooww!!» addictif! une floppée de reprises bien senties pour ce cult-classic aussi, notamment par les Phantom Chords et par les Panther Burns de Tav Falco.
She's got a big set of risers, way up there, Bobbed fenders, Straight pipes, She's runnin' nitro..
08. Bad Betty, The Sonics En parlant de fantasmes, tiens, justement,... Depuis Boss Hoss et The Witch les Cinq de Tacoma s'y connaissent en machines infernales et filles pas sages. Bad Betty, c'est l'obsession teenage et masculine classique et indémodable sur fond de garage punk rock'n'roll ultrabrutal, avec une mean evil bitch toute en cuir noir très moulant qui sillonne la région sur son bolide, en l'occurrence ici, une Triumph Bonneville, «depuis qu'elle a planté la Cadillac Coupe de Ville de son papa»... Jouissif.
Bad Betty on a Bonneville, She looks fast when she's sittin' still High boots and a look to kill That's Bad Betty on a Bonneville, yeah!
09. Motorbike Beat, The Revillos Un des hits dans les charts anglais de cet autre combo injustement oublié de la vague punkabilly / new wave naissante du début des 80's, les Revillos, from Edinburgh, Scotland, mené par un autre couple infernal, Fay Fife et Eugene Reynolds, au chant. Et une petite bombinette power pop enervée dédiée à l'allégresse du bikerider dont le cœur bat au même rythme que celui de son engin.. Imparable.
I'm hypnotized by the motorbike beat I've got the hots for a drive up the street I got the heat I got the beat I got the motorbike beat!
10. Motorcycle of Love, The Lizard Train Un des groupes de la seconde vague du rock austral des late-80's, le Train Lézard avait balancé depuis Adélaïde cette éjaculation sonique garage punkrock d'une minute trente-trois d'abord en 45trs en '88 sur Greasy Pop Rds, puis sur son second album, The Ride. Un gros riff testostéroné, une quinzaine de mots en guise de lyrics, un solo psyché-high-energy qui se barre dans la stratosphère, et c'était torché.. Brutal.
Take a ride with the motorcycle of love, feel the wind, runs fingers right thru your hair, Enjoy the ride, motorcycle of love Come on let's ride, motorcycle of love
Pas de motorcycle songs sur cette excellente compilation concoctée par l'indispensable label Soul Jazz Rds il y a quelques années, mais une splendide pochette sexy à souhait avec pin-up, fringues et panhead chop period-correct pour une remarquable sélection de pistes gorgées de complaintes country, d'humour trailer trash et surtout de chansons vindicatives et féministes par des performeuses qui n'avaient pas peur de remettre à leur place les beaufs phalocrates qui pullulaient dans le milieu très conservateur et misogyne de la country music "traditionnelle". Check it out!
Deux exemplaires de la petite "grande soeur" de la 'stang étaient présents sur le site, le coupé rouge bien connu et une très désirable Sprint en version cabriolet, rarissime!
Yehup, décidément, il y avait du beau matériel ce dimanche après-midi à Tournai, que ce soit dans la contre-allée desservant le site, sur le site lui-même ou sur l'espace camping / parking visiteurs. En prime, un chouette concert de Country Cooking, généreux combo belge qui réussit à faire le grand écart entre 50's rockab' flamboyant et 70's southern boogie rock'n'roll, sans que ça fasse bizarre - en fait ça le fait tout court, même à 16h sous chapiteau, de Jerry Lee à "Sweet Home Alabama" - YEAH! bien vu les gars!! Et un grand bravo à l'American Tournai Club pour ce rendez-vous incontournable!
Chevy Impala Coupe 1962, une de mes full-sizes favorites quelque soit le traitement, en méchante street-machine, en lowrider, en bellflower style ou farpaitement d'origine comme celle-ci, je suis preneur! Et ci-dessous, une belle Lincoln Continental mid-sixties, une Ariane 4 qui prouve qu'on peut faire un mild-custom classe et sympa sur base française avec très peu de modifs et juste du bon goût, une ultrarare Hudson Hornet impeccable jusqu'au bout du continental kit, et une Ford Sedan mid-fifties elle aussi mild-customisée avec goût, avec une super idée de calandre homemade à base de louvers chromés! Excellent!!
Un beau coupé noir '59, un convertible rose pale du même millésime, une Sedan de Ville de '57 et un coupé mid-sixties tractant une petite caravane bien sympa.
Et là, je tombe en arrêt devant le monstre de métal et de chrome qu'est cette grandiose Station Wagon Pontiac Bonneville Safari de 1959, à la sublime livrée bicolore Jasmine Green & White top, complètement d'origine - 4673 exemplaires produit cette année là - et impeccablement restaurée.. Rhââ, j'aime tout sur cette caisse! L'intérieur Tri Color pur fifties coordonné au reste, le nom doublement évocateur - aventures exotiques et speed-trials sur le légendaire Bonneville Salt Flats - la fabuleuse face avant et sa célèbre signature stylistique (1959, première année de la fameuse split-grille Pontiac), les ailerons arrières façon rampe de lancement de missiles, et la taille gigantesque de ce break Full-Size!!!
Une boule de remorquage, une belle Airstream du même vintage accrochée derrière, et avec un peu d'imagination on peut s'imaginer cruiser sans fin sur les highways du Grand Ouest américain d'un parc national à l'autre entre le Grand Canyon et Yellowstone, au son du bon gros 389 c.i. de 260 chevaux et des chuintements des whitewalls sur l'asphalte, bien callé derrière un cerceau kingsize et la boîtoto Super Hydra-Matic..
Samedi 13 avril 2024
Poncharello
Bistrot St So, Lille
Samedi 20 avril 2024
The Dirteez + DJ Gingerella
La Bulle Café, Lille
Dimanche 21 avril 2024
Speedways
Textival Festival, Courtrai
Mardi 23 avril 2024
Speedways
La Bulle Café, Lille
Mardi 30 avril 2024
Night Beats, Howlin' Jaws,
Tuesday Violence
Le Botanique, Bruxelles
Mercredi 01 mai 2024
Seatsniffers, DeWolff, Cold Stares,
Michelle David & The True Tones,
Golden Glows, Soror, Eosine,
Eriksson-Delcroix & The Lefbank
Ramblers + more TBA
Roots & Roses Festival, Lessines
Vendredi 03 mai 2024
Howlin' Jaws
Les 4 Ecluses, Dunkerque
Vendredi 17 mai 2024
Heath + Gasoline
La Griffe, Lille
Samedi 25 mai 2024
The Courettes + Power Shake
Le Botanique, Bruxelles
Lundi 27 mai 2024
Cosmic Psychos
Black Lab, Lille
Mercredi 29 mai 2024
Killer Kin
The Pit’s, Courtrai
Vendredi 31 mai 2024
Jake La Botz
4AD, Diksmuide
Samedi 15 juin 2024
Slim Cessna’s Auto Club
4AD, Diksmuide
Vendredi 29 juin 2024
Nashville Pussy,
De Casino (in the Park), Sint-Niklas
Vendredi-Dimanche 5 au 7 juillet 2024
The Chats, Si Cranstoun,
Jenny Don't and the Spurs,
Bad Religion, New Bomb Turks,
Left Lane Cruiser, The Sadies,
The Gories, Civic, Lambrini Girls,
Detroit Cobras + More TBC
Sjock Festival, Gierle
TOP-5, TOP-10, PLAYLISTS & SELECTIONS
Je ne suis pas un maniaque des listes et compilations, mais parfois, l'envie me prend d'un Top-5 musique, ciné ou autre, inspiré par le rock'n'roll et la car-culture qui sont mes principales obsessions. Si, fellow websurfer, tu déniches donc ici la pépite qui te met en joie ou l'info qui te manque, tant mieux ! Enjoy it, partage et fait tourner..
Sometimes I fancy creating a playlist about anything which has something to do with the rock'n'roll and car-culture I'm obsessed with. So, if you, fellow websurfer, come across the little nugget which makes your day or the piece of info you need, good for ya!